Le gouvernement
vient d’enterrer une nouvelle fois l’un de ses « engagements » de
campagne : celui d’accorder aux étrangers extra-communautaires le droit
de vote aux élections locales.
Sous prétexte qu’il pense ne pas réunir les trois cinquièmes du Parlement – ce qu’il n’ignorait pas avant de prendre cet engagement – , Hollande a choisi de reculer, sans même se battre et essayer. Il a renoncé à intégrer cette réforme dans le projet de révision constitutionnelle présenté en conseil des ministres. On peut même douter qu’en faisant cette promesse, il avait l’intention de la tenir.
Ça ne fait guère que 32 ans, depuis l’élection de Mitterrand de 1981, que le Parti socialiste a fait cette promesse pour s’asseoir dessus. Il dénie ce droit élémentaire à des millions de travailleurs qui produisent des richesses pour enrichir les capitalistes de ce pays.
Sous prétexte qu’il pense ne pas réunir les trois cinquièmes du Parlement – ce qu’il n’ignorait pas avant de prendre cet engagement – , Hollande a choisi de reculer, sans même se battre et essayer. Il a renoncé à intégrer cette réforme dans le projet de révision constitutionnelle présenté en conseil des ministres. On peut même douter qu’en faisant cette promesse, il avait l’intention de la tenir.
Ça ne fait guère que 32 ans, depuis l’élection de Mitterrand de 1981, que le Parti socialiste a fait cette promesse pour s’asseoir dessus. Il dénie ce droit élémentaire à des millions de travailleurs qui produisent des richesses pour enrichir les capitalistes de ce pays.
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