mercredi 13 mars 2013

Bezons-Palestine : choisir son camp



Des organisations juives s’en est pris au maire de Bezons pour la pose d’une plaque mettant à l’honneur le mari de l’ex-maire d’une localité palestinienne avec laquelle la Ville de Bezons a entrepris un travail de solidarité. Ce Palestinien a été condamné à 80 années de prison pour participation à l’assassinat d’un ministre israélien.
      Oui, le terrorisme a ensanglanté depuis des décennies le Proche-Orient. Et nous ici, nous pouvons penser qu’une autre politique, celle de la mobilisation des masses, israéliennes aux côtés des masses palestinienne, pourra seule donner une solution à l’oppression et à l’impasse pour tous les peuples de Palestine et d’Israël. Mais question terrorisme, l’Etat d’Israël n’a pas de leçon à donner à quiconque. Non seulement parce que son armée est une spécialiste de la politique de la terreur, mais parce qu’à travers des organisations sionistes terroristes ou comme le reconnaissent aujourd’hui d’anciens chefs désabusés des services secrets israéliens à travers l’action de ceux-ci, la pratique de l’assassinat et de l’attentat ne fut pas le monopole d’organisations palestiniennes.
     En l’occurrence, notre solidarité va sans faille au maire de Bezons.

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