mercredi 14 novembre 2012

Violence scolaire : avec des moyens humains on peut l’endiguer


Selon une enquête de l’Education nationale elle-même, la violence scolaire aurait augmenté de façon significative l’an dernier.
            Au-delà de ce constat inquiétant, parmi les indications données, il en est de particulièrement révélatrices : si pour un trimestre donné, 41% des établissements ne signalent aucun incident d’ampleur, en revanche, un quart des établissements en déclarent près des trois-quarts. 10% monopolisent même pas loin de la moitié des actes de violence recensés.
            Les établissements qui concentrent cette violence scolaire sont ceux de « l’éducation dite prioritaire ». Mais une priorité sans moyens à la mesure du problème que l’on veut résoudre n’est qu’une idée creuse dont il n'y a aucun résultat à attendre.
     Et ce ne sont pas les quelques "assistants de prévention et de sécurité" créés par Peillon (11 dans le Val d'Oise), aux missions mal définies, qui changeront les choses.
      Il faut en priorité des enseignants, des infirmières, des conseillers principaux d'éducation, des assistantes sociales...

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Quand les voyous estiment pouvoir faire usage de la violence en lieu et place de l'Etat (seul dépositaire de la violence légitime)le nécessaire travail d'éducation & d’enseignement ne peut plus être réalisé.Il reste alors quelque chose qui s'apparente à la barbarie,à la délinquance généralisée,à la voyoucratie.L'Etat maintient l'ordre nous assure-t-on en interdisant par exemple aux enseignants de participer à la campagne présidentielle (dans l'Académie de Lille)contre tous les principes fondateurs de la démocratie.L'Etat serait bien inspiré de permettre aux personnels d'éducation de remplir correctement leurs missions de service public sans être soumis aux menaces & injonctions des voyous.Oui à l'éducation nationale pour tous dans l'Etat de droit et non pas hors de l'Etat de droit !

Anonyme a dit…

Quand les voyous estiment pouvoir faire usage de la violence en lieu et place de l'Etat (seul dépositaire de la violence légitime)le nécessaire travail d'éducation & d’enseignement ne peut plus être réalisé.Il reste alors quelque chose qui s'apparente à la barbarie,à la délinquance généralisée,à la voyoucratie.L'Etat maintient l'ordre nous assure-t-on en interdisant par exemple aux enseignants de participer à la campagne présidentielle (dans l'Académie de Lille)contre tous les principes fondateurs de la démocratie.L'Etat serait bien inspiré de permettre aux personnels d'éducation de remplir correctement leurs missions de service public sans être soumis aux menaces & injonctions des voyous.Oui à l'éducation nationale pour tous dans l'Etat de droit et non pas hors de l'Etat de droit !

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