Plus
de 2 euros : c’est le prix du litre de super sans plomb atteint dans
certaines stations services parisiennes.
Cette situation n’est pas vraiment
soudaine. Elle existe depuis plusieurs semaines. Et ça continue. Le
gouvernement s’est donc senti obligé de prendre une décision… pour dans une
semaine. Oubliée la promesse du candidat Hollande de bloquer ̶ très
provisoirement ̶ les prix du carburant : J.M. Ayrault
vient de découvrir que « si vous gelez les prix pendant 3 mois et que vous
les laissez repartir après, vous n’avez rien résolu ». Surtout quand on
les gèle à leur plus haut niveau.
Si on n’ose pas s’attaquer aux profits
plantureux des compagnies pétrolières et à leur pouvoir, les
« solutions » du pouvoir socialiste consisteront en un transfert
des poches des usagers à celles des contribuables, sans égratigner vraiment
Total et ses semblables.
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