"Je
n'ai pas de crainte, (...) la rentrée devrait bien se passer", a dit M.
Peillon en soulignant que le gouvernement avait "tout fait pour que cette
rentrée se passe le mieux possible".
"Grâce aux emplois supplémentaires et
aux recrutements auxquels nous avons procédés (6.000 en tout), nous avons déjà
amélioré de nombreuses situations et nous pourrons réagir immédiatement si, par
exemple, il manque un enseignant ici ou là", a-t-il déclaré.
Au lycée Georges Braque, en juin dernier,
la menace existait toujours sur le risque d’une augmentation nette des
effectifs à cette rentrée de septembre, s’exprimant par une remise en question
des effectifs traditionnellement limités d’élèves par classe en « zone d’éducation
prioritaire ».
Bref, à Braque, « cela va bien se
passer » ? Si problème, une « réaction immédiate » se
produira ?
A suivre…
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