Les dégâts opérés par les 80 000 suppressions de postes d’enseignants
à l’Education nationale sont considérables. Si rien n’est fait, c’est dans les
années qui viennent que l’on pourra en mesurer les conséquences désastreuses. L’école
maternelle et l’école primaire sont en première ligne des dégâts opérés.
Il faut baisser les
effectifs dans ces maternelles et scolariser les enfants de moins de trois ans dont
les parents le souhaitent. Il faut aider les élèves en difficultés. Il faut établir
ou rétablir le nombre de « rased » nécessaire. Il faut assurer les
remplacements des enseignants absents.
Cela nécessite de
rétablir les 80 000 postes supprimés !
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