Le
tribunal de Créteil vient d’autoriser la Fnac à poursuivre ce que, dans le langage
patronal, on appelle « plan de sauvegarde de l’emploi ». En clair,
plus de 500 emplois vont être supprimés pour faire 80 millions de profits
supplémentaires.
Leurs économies pour « sauver les
entreprises », c’est fabriquer le chômage et aggraver l’exploitation de
ceux qui conservent leur emploi.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire