Au cours des deux
dernières années, le numéro un mondial de l’acier, Arcelor Mittal,
aurait récupéré plus de 230 millions par le simple fait d’avoir arrêté
plusieurs de ses installations en laissant les travailleurs sur le
carreau. Cela lui a permis en effet de revendre ses « droits à polluer »
non utilisés. Dans cette économie, la pollution est un marché où
s’échangent les droits de rejeter ses saletés dans l’atmosphère. Il est
temps que l’humanité se débarrasse de ces fabricants d’ordures
planétaires.
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