dimanche 29 avril 2012

La pire pollution, c’est le capitalisme

Au cours des deux dernières années, le numéro un mondial de l’acier, Arcelor Mittal, aurait récupéré plus de 230 millions par le simple fait d’avoir arrêté plusieurs de ses installations en laissant les travailleurs sur le carreau. Cela lui a permis en effet de revendre ses « droits à polluer » non utilisés. Dans cette économie, la pollution est un marché où s’échangent les droits de rejeter ses saletés dans l’atmosphère. Il est temps que l’humanité se débarrasse de ces fabricants d’ordures planétaires.

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