Les banques françaises ont prévu des licenciements dans leurs succursales aux Etats-Unis. 400 pour la Société Générale , 300 pour BNP-Paribas. Les dirigeants justifient ces licenciements en invoquant les aléas de la spéculation. Mais rien ne peut justifier de faire perdre à un travailleur sa seule richesse, son emploi. Que les spéculateurs, les banques en premier lieu, assument eux-mêmes les dangers de cette spéculation qu’ils ont organisée, et qu’ils prennent sur leurs profits pour garantir les emplois et les salaires, ici comme ailleurs.
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