samedi 14 janvier 2023

Armée française, « Tirailleurs » : les crimes de l’État français, hier et aujourd’hui…

Réprimés toujours

 

Plusieurs jeunes figurants du film « Tirailleurs » ont reçu une obligation de quitter le territoire. Ce sont de jeunes travailleurs, arrivés mineurs en France, qui ont fait des formations, ont trouvé du travail en alternance. Leur situation a été rendue visible par leur présence dans le film, mais ce ne sont malheureusement pas des cas isolés.

         L’État français, qui leur refuse aujourd’hui une vie normale, ne s’était pas gêné pour recruter de force leurs aïeux pour ses guerres.

 

vendredi 13 janvier 2023

Combat pour les retraites : « métro, boulot, caveau, non merci ! » « De l’argent, il y en a dans les poches du patronat »

Ce n'est pas l'argent qui manque

 


Mardi 10 janvier, le gouvernement s'est répandu en déclarations et interviews de toutes sortes pour expliquer à quel point il serait « juste » et « équitable » de travailler et de cotiser plus longtemps pour partir en retraite. Chaque travailleur devrait donc sacrifier deux années pour combler le fameux déficit des caisses de retraite : il manquerait 13,5 milliards d'ici à 2030.

         Ce n'est pourtant pas l'argent qui manque dans cette société : les actionnaires du CAC 40 ont empoché 80 milliards l'année dernière, et le gouvernement lui-même arrive sans problème à trouver le budget pour commander des armes et autres engins de mort. Alors il n'est pas question que les travailleurs fassent davantage de sacrifices.

 

Les prochaines permanences prévues.

-aujourd’hui vendredi 13 janvier, de 10 h.15 à 10 h.45, devant l’Intermarché du Centre,

-et de 10 h.50 à 11 h.15, marché Héloïse ;

-de 15 heures 30 à 16 heures 40, marché du Val-Nord ;

-et de 17 h.15 à 18 h.15 au carrefour Babou ;

-samedi 14 janvier, de 10 h.15 à 10h.55, devant Monoprix ;

-de 11 heures à midi, centre commercial Joliot-Curie ;

-et de 11 h. à midi, marché de la Colonie.

-lundi 16 janvier, de 18 à 19 heures, centre commercial des Raguenets, à Saint-Gratien ;

-mercredi 18 janvier, de 11 h. à 11 h.30 au marché des Champioux.

 

Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,5 euro), et Lutte de classe (2,5 euros) n° 228 en vente :

           -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac du Val-Nord (le journal seulement) et à la librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri (On y trouve aussi la LDC) 

 

Le samedi 11 mars 2023

Banquet fraternel 2023 des Amis de Lutte ouvrière à Argenteuil

Réservez vos places dès maintenant

17 euros et 8 pour les enfants accompagnés de moins de 14 ans

Pour nous joindre :

Lo.argenteuil@gmail.com

 

19 janvier : "il faut que tout le monde descende dans la rue". Jean-Pierre MERCIER, délégué de Sud PSA-Poissy sur BFM-TV. 4 min 08

Argenteuil, « vœux du maire aux agents » : un exemple venu du Maine et Loire pour les agents territoriaux d’Argenteuil

La « cérémonie des vœux » du maire d’Argenteuil aux agents territoriaux de la collectivité a lieu ce soir. Certains iront pour retrouver les copains et les copines et boire un coup, et d’autres pour dire en direct au maire d’Argenteuil qu’ils sont en souffrance dans leur service. D’autres n’iront pas, pour ne pas entendre la brosse à reluire à l’égard des agents de l’édile alors que la situation est catastrophique en mairie et dans les services. Nous proposons, pour l’an prochain, une brève sur l’initiative menée en pareilles circonstances chez les territoriaux d’Angers et de son agglomération il y a quelques jours seulement. DM

 

Agents en colère

 


Lundi 9 janvier, aux greniers Saint-Jean, les vœux du maire-président aux agents territoriaux de la Ville et de l’Agglomération ne se sont pas passés comme prévu. Dès que Jean-Marc Verchère (Modem) a pris la parole, une centaine de travailleurs ont couvert sa voix par leurs huées et leurs slogans. Tous debout et lui tournant le dos, ils ont brandi des pancartes rappelant leurs revendications : 150 de plus sur la prime IFSE mensuelle et un treizième mois équivalent au Smic.

         Vexé comme un pou, le maire a sur le champ annulé sa rencontre avec l’intersyndicale du vendredi 13 janvier. De quoi alimenter encore la colère des territoriaux qui, mobilisés depuis octobre dernier pour des salaires décents, en ont assez de ce mépris et ne comptent pas se contenter de belles paroles ni de miettes.