Éducation : « École du futur » : Macron veut généraliser la pénurie

 

Pour lui, la diversité des modèles c’est l’aggravation des inégalités

 

 

En visite à Aix-en-Provence, Macron a présenté ses objectifs pour l’école de demain, en s’appuyant sur les « expérimentations » menées dans des écoles à Marseille.

         Il prétend à une meilleure efficacité « en laissant la liberté au terrain », c’est-à-dire en accroissant le pouvoir des chefs d’établissements d’imposer aux enseignants et aux enfants des mesures directement dictées par la pénurie.

         Ce que Macron qualifie de « diversité des modèles » n’est en fait que l’aggravation des inégalités qui touche l’école comme toute la société.

Chantiers olympiques comme ailleurs : régularisation de tous les travailleurs !

 

Une affaire déjà en or pour le patronat

 

 

Sur les chantiers olympiques de Paris 2024, des travailleurs « sans papiers » travaillent sans contrat, sans horaires et sans fiches de paye, employés en sous-traitance pour de grandes entreprises du bâtiment.

         Certains de ces travailleurs luttent à juste raison pour leur régularisation, en se heurtant aux préfectures qui les maintiennent dans cette situation de salariés sans droits.

 

Les prochaines permanences prévues.

-aujourd’hui vendredi 9 décembre : 

-de 15 heures 30 à 16 h.45 au marché du Val-Nord ;

- et bien sûr de 17 h.15 à 18 h.15 au carrefour Babou ;

-samedi 10 décembre, de 10 h. à 10 h.30 marché des Coteaux ;

-de 11 h. à midi au marché de la Colonie ;

-et de 11 h. à midi, centre commercial Joliot-Curie ;

-dimanche 11 décembre :

-de 10 h.15 à 10 h.55, devant l’Intermarché du Centre,

 Et de 11 h. à midi au marché Héloïse.

-lundi 12 décembre, de 18 à 19 heures, centre commercial des Raguenets à Saint-Gratien.

-mercredi 14 décembre, de 11 h. à 11 h.30 au marché des Champioux.

 

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Banquet fraternel 2023 des Amis de Lutte ouvrière à Argenteuil

17 euros et 14 pour les enfants accompagnés de moins de 14 ans

Argenteuil, cinéma, culture, le cinéma Jean Gabin en péril

La culture est l’affaire de tous, mais apparemment pas celle de la municipalité

 

 

La nouvelle est tombée. Il n’y aura plus de séance en soirée à partir de janvier au Jean Gabin, la salle de cinéma qui jouxte l’hôtel de ville. Cette décision vient à la suite de celle qu’il n’y ait plus de séances le lundi dans les salles de l’autre cinéma, le Figuier blanc. Nous croyons même nous souvenir que le deal était pourtant le maintien du Jean Gabin contre cette fermeture du lundi au Figuier blanc.

         Il n’y aurait plus que les séances de l’après-midi au jean-Gabin, c’est-à-dire celles qui attirent le moins de monde, hormis la venue des enfants des centres aérés.

         Et qu’en sera-t-il après janvier ? Et est-ce là une nouvelle contribution de la municipalité pour stimuler les envies des gestionnaires du très hypothétique multiplex ?

         Les combattants de la culture sont bien évidemment touchés par une telle décision. Ils sont même scandalisés. Mais surtout pas désemparés. Le combat continue. DM