jeudi 4 août 2022

Pelosi à Taïwan : l’impérialisme américain provocateur de guerre

 

Un risque bien réel d’escalade militaire

 

En se rendant à Taïwan, un territoire revendiqué par la Chine mais qui échappe à son contrôle, la présidente de la Chambre des représentants réaffirme la suzeraineté des États-Unis sur cette île.

La défense de la démocratie contre une dictature menaçante n’est que l’habillage habituel que donnent les impérialismes occidentaux à leurs manœuvres. La Chine est certes une dictature, mais les États-Unis en soutiennent dans le monde entier, du moment qu’elles acceptent de jouer leur jeu.

Quant au risque d’une escalade militaire, où on passerait de la guerre des mots à la guerre tout court, il est bien réel. Mais c’est le gendarme du monde américain qui en est le premier responsable, par sa présence militaire continue dans les eaux asiatiques.

Argenteuil, espace Jean Vilar, prolongation de la fermeture du complexe des fêtes. (1) Un merveilleux prétexte

 

S’il n’y avait pas le Covid, ils l’auraient inventé

 


La bourse annuelle des numismates

Un des animateurs du Comité Jean Vilar de défense de l’espace Jean Vilar, Frédéric Lefebvre-Naré a posté le commentaire suivant suite à la diffusion que nous avons fait sur notre blog de la lettre que Lutte ouvrière a reçue. Il m’agrée totalement. Je le diffuse donc à mon tour comme premier commentaire de la lettre de Georges Mothron que je vous invite par ailleurs à diffuser partout autour de vous. DM

« Le contenu de cette lettre du maire est surréaliste. Il fait référence à un "échange avec l'Agence régionale de Santé" sans prétendre le moins du monde que celle-ci lui ait demandé de maintenir Jean Vilar fermée pour une hypothétique campagne de vaccination pour cette 7ème vague qui, selon le maire "débute"… alors qu'elle a débuté début juin, a passé son pic et retombe depuis le 12 juillet (la lettre est du 20 !).

Quant à présenter la grande tente blanche, édifiée comme solution très provisoire pendant le chantier de Jean Vilar, de "premier lieu événementiel argenteuillais", "occupé à 100%, preuve de son adaptabilité et de son utilité" ainsi que de la "compréhension et de (l')esprit constructif" des associations, alors que celles-ci ont été simplement forcées de déplacer, réduire et sinon annuler leurs événements, c'est orwellien.

Mais mon propre commentaire est superflu : s'il y avait une bonne raison pour fermer Jean Vilar, elle tiendrait en 10 lignes et le maire se serait dispensé de ces 2 pages 1/2 de tours et détours. »

 

Samedi 17 septembre, pour la défense de l’espace Jean Vilar,

Déambulation en direction de la Maison de Claude Monet

Départ : 15 heures

Bonnes lectures de l’été (3) : chaque jour un livre parmi mes bonnes lectures de cette année 2021-2022

 

Les fossoyeurs, de Victor Castenet, Fayard

 


Les congés sont aussi l’occasion de lire davantage, et pas seulement des romans, mais bien d’autres genres. En l’occurrence, il s’agit d’une enquête menée sur un drame de notre société, les Ehpad. C’est un livre dont on a beaucoup parlé, et à juste titre, mais il faut en parler encore.

La question est comment allons-nous vieillir dans nos sociétés où vivre avec les anciens –espaces, rythmes de vie- n’est pas si simple.

Revenons aux Fossoyeurs. Horreurs et damnation.

Et ce témoignage, cette enquête ne porte pas sur un groupement d’Ehpad s’adressant aux plus pauvres. Non que l’on soit pauvre ou riche, il faudrait vieillir dans les souillures et l’horreur ? Ce n’est pas possible.

Et tout cela pour le profit maximum, dans un des secteurs d’investissement les plus rentables !

Il s’agit en l’occurrence du groupe Opéa, mais d’autres sont sur la sellette de la même façon.

En tout cas, il ne faudrait pas que ce livre accablant n’ait servi à rien, et qu’un autre livre dans quelques années remette le sombre couvert sur le même sujet. En attendant, une enquête passionnante et une dénonciation sans appel.