Quand on veut on peut, mais cela ne pallie pas les faiblesses de l’information
Vendredi
en fin d’après-midi, cour des écoles PV Couturier
Nous ne connaissons pas les
résultats de l’affluence des Cinglés du
cinéma qui se sont tenus les 6 et 7 mai sur la Ville. Si la participation
était apparemment convenable vendredi matin, elle semblait bien faible, en tout
cas en fin d’après-midi. Quant aux belles séances proposées, les spectateurs se
sont sentis bien seuls lors du magnifique ciné-concert de vendredi soir.
Cela
nous amène à trois réflexions que nous faisons partager à nos lecteurs.
L’évitement
actuel de l’utilisation du complexe Jean Vilar est très dommageable. Ce dernier
permet bien des réussites que des configurations de remplacement ne peuvent
réaliser.
Pour
cette édition des Cinglés, la
municipalité a mis en place une configuration qui pouvait offrir des éléments d’une
relative qualité, par l’utilisation conjointe de structures scolaires et d’un gymnase.
Bref, quand on veut, on peut… au moins relativement.
Mais
l’information est à revoir. Combien d’habitants ont-ils été touchés par celle
de cet évènement et par toutes les animations qui lui étaient associées ?
Sans doute bien peu.
Ce
qui est dit pour cet évènement concerne bien d’autres, passés et à venir. La municipalité
doit remettre sur le métier son travail. À défaut, elle crée la déception parmi
tous les agents de la Ville qui s’étaient investis, parmi les bénévoles du
réseau associatif, et au final, chez les habitants. DM