jeudi 5 mai 2022

Argenteuil, ABH, quand le bailleur réagit suite à un article de presse, ce n’est vraiment pas normal

 

Un fonctionnement qui doit radicalement changer

 

Escabeau faisant fonction d'étai !

Depuis des années, chez ABH, il arrive souvent (toujours ?) qu’un problème de locataire nécessite d’être mis sur la place publique pour que le bailleur ABH réagisse. C’est ce qui vient de se produire une nouvelle fois ces jours derniers, selon l’article paru dans le quotidien Le Parisien hier.

         Au dernier étage d’une résidence d’ABH, un locataire subit une fuite du toit qui lui occasionne de graves désagréments, et qui l’empêche de recevoir son fils asthmatique. Il écrit, sans réponse. Il écrit une nouvelle fois. Toujours aucune réponse. Il contacte les médias. Aussitôt, le bailleur réagit.

         Combien de tels exemples, les locataires d’ABH pourraient-ils mettre sur la place publique ? De très nombreux, qui ont comme résultat de leur faire perdre du temps, de rendre leur vie compliquée, et de les démoraliser lorsqu’ils ont l’impression d’être confrontés à un mur.

         Conclusion, les locataires doivent s’organiser, joindre la presse dont le rôle est d’informer, et faire qu’ABH change totalement de telles pratiques. DM

La police : pilier d’un État incontrôlé

Un pilier qui n’accepte de rendre des comptes qu’à la bourgeoisie

 



Plusieurs rassemblements de policiers ont eu lieu le 2 mai contre la mise en examen pour « homicide volontaire » du policier qui a tiré au fusil d’assaut, tué deux personnes et blessé une troisième, sur le Pont Neuf de Paris le 24 avril dernier.

         Des syndicats policiers, habitués à être caressés dans le sens du poil, dénoncent une « décision inadmissible » des juges. Ils veulent que la « présomption de légitime défense », que défend Le Pen, soit appliquée, quitte à ce que ce soit un permis de tuer.

         C’est dans la logique de cet État qui dresse la police en permanence contre la population et qui n’accepte de rendre de comptes qu’à la bourgeoisie.

Engie : les profits contre la planète

Que crève la planète mais que les profits soient saufs

 

 


Le groupe Engie va acheter 1,75 million de tonnes par an de gaz de schiste aux États-Unis, dont l’extraction provoque des dégâts irrémédiables dans les sous-sols et les nappes phréatiques.

         Comme tous les trusts capitalistes, Engie prétend se préoccuper de l’environnement et de la transition énergétique. Mais les profits passent avant la planète.