mardi 15 juin 2021

G7 : un slogan publicitaire qui vaut ce que valent les slogans publicitaires

 

De pire en pire

 


« Reconstruire le monde en mieux » : c'est le slogan qu'ont inventé les dirigeants des grandes puissances au sommet du G7 pour lancer un plan « d'aide » aux pays d'Amérique Latine ou d'Afrique.

En fait d'aide, il s'agit de promouvoir des contrats en faveur des groupes américains et européens face à la concurrence de la Chine. Quant aux vaccins, le G7 ne promet qu'un milliard de doses pour les pays pauvres, alors que l'Afrique, à elle seule, regroupe près de 1,5 milliard d'êtres humains.

Le monde qu'ils reconstruisent, c'est le même qu'aujourd'hui, mais en bien pire encore.

Noyades et protection : des risques qui demeurent au plan d’eau interdit de Beaumont-sur-Oise

 

Et les années passent sans qu’une solution soit trouvée…

On nous informe :


Depuis une semaine, les jeunes du val d'Oise et de la Seine-Saint-Denis viennent se baigner sur le plan d’eau extrêmement dangereux situé entre Nointel et Beaumont-sur-Oise.

         L’an passé, deux jeunes s’y sont noyés après bien d’autres dans le passé.

Rien de bien nouveau cette année. Au lieu d'interdire tout simplement l'accès de ce plan d'eau ou d’y faire des aménagements nécessaires, la police interpelle  les jeunes et leur dresse des procès-verbaux ! La seule nouveauté est la présence de la gendarmerie montée qui patrouille autour du plan d’eau. Sur les trois communes touchant ce plan d'eau, des courses poursuite ont lieu entre les jeunes venues se baigner  et les gendarmes ! 

         On ne peut pas imaginer qu’il n’y ait pas une véritable solution pour rendre ce site accessible et offrir un lieu de loisirs aux jeunes, c’est-à-dire pour commencer avec les moyens de surveillance et de secours nécessaires.

lundi 14 juin 2021

Lutte ouvrière : le succès de notre rassemblement festif à Presles hier

 

Le succès du rassemblement festif organisé par Lutte ouvrière

Pas simple d’organiser un tel rassemblement quand on ne sait pas quelques semaines à l’avance s’il pourra se tenir. Il s’est tenu. Ce fut un succès. Nous reviendrons dans les jours qui viennent sur ce beau moment de politique des travailleurs, de débats, de culture et de fraternité. En tout cas ce rassemblement festif de Lutte ouvrière a enthousiasmé les milliers de participants. Nous y reviendrons dans les jours qui viennent.

 





 

Retrouvons-nous et achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,2 euro) n°2758, et Lutte de classe (2,5 euros) n°216 :

         Lors de nos permanences de la semaine à venir :

-demain lundi 14 juin,  de 10h.30 à midi à l’entrée de Monoprix

Et de 16h. à 17h.30 à l’entrée de la mairie ;

-mardi 15 juin de 10 h. 30 à 11 h.45 centre commercial Joliot-Curie;

-mercredi 16 juin de 11 h. à 11h.30 marché des Champioux.

         Chez les marchands de la presse :

                   -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac de la « dalle » ;

                   -librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri.

 

Attention : mes 5 articles du jour apparaissent parfois sur deux pages voire sur trois pages. Pour lire les 5 articles, cliquez en bas de la première page sur « articles plus anciens). DM

Nathalie ARTHAUD sur RMC vendredi, 6 minutes 30

Affiches électorales, colleurs et démocratie, ça ne prend vraiment pas…

Nous reviendrons peut-être sur les conditions dans lesquelles nous pouvons coller (très difficilement) quelques affiches à Argenteuil. Mais ce n’est présentement pas de cela dont il s’agit, mais d’un incident qui a mise aux prises un colleur de Lutte ouvrière à Arcueil (94) et des pécressiens…

 

A propos d’un incident entre afficheurs

13/06/2021

Un certain nombre de medias se relayent en accusant un militant de Lutte ouvrière d’avoir agressé des militants de la liste de Valérie Pécresse en Île-de-France lors d’un collage d’affiches.

Voilà donc Lutte ouvrière accusée d’empêcher l’actuelle présidente de la région de s’exprimer, comme si celle-ci n’avait pas tous les moyens de le faire et tous les micros des medias ouverts. Lutte ouvrière imposerait donc sa « dictature » tout simplement parce qu’un de ses militants a défendu une de ses affiches que les colleurs de Mme Péresse voulaient recouvrir, comme d’ailleurs toutes les affiches alentour.

Encore une fois presse et media n’ont aucun respect des faits, préférant prendre fait et cause pour une personnalité et dénoncer la prétendue violence de l’extrême-gauche plutôt que de s’informer simplement.

Ce jour-là, le 9 juin à Arcueil, ce militant de Lutte ouvrière a protesté contre le fait que cette équipe voulait recouvrir tous les panneaux d’affichage libre alors que, au moins dans cette localité, il est de règle que les afficheurs des différent partis évitent de se recouvrir complètement, ce qui est plutôt une bonne chose. Le fait que cela ait déclenché une altercation, sans aucune gifle ou violence de la part de Lutte ouvrière, contrairement à ce qu’affirment les partisans de Madame Pécresse et nombre de medias, tend plutôt à démontrer que le respect des autres ne fait pas partie de leurs valeurs.