lundi 12 septembre 2016

Agenda militant


Ce soir lundi


Nathalie Arthaud à Itele


Lundi 12 septembre

A 19 heures 30

Sur Itele :

Interview de Nathalie Arthaud

 Jeudi 15 septembre


Contre la Loi travail, on est toujours là


Journée de grève et de manifestations

Partout dans le pays,

A Paris

Manifestation à 14 heures

Départ place de la Bastille


A Argenteuil, un car est prévu par l’Union Locale des syndicats CGT partant à 13 heures de la salle Jean Vilar. S’inscrire auprès de l’UL.

Dimanche 18 septembre


Une présence de Lutte ouvrière à la Braderie de Bezons


Comme chaque année, il y aura un stand de Lutte ouvrière à la braderie de Bezons. L’occasion de rencontrer et de discuter avec les travailleurs de la région


Et bien sûr le vendredi 30 septembre


Le grand meeting avec
Nathalie ARTHAUD
A Paris
A 20 heures 30
Au Cirque d’Hiver-Bouglione

PCF, Fête de l'Huma, "Grande consultation citoyenne"


Une nouvelle fois, la fête de l’Humanité qui s’est terminée hier au soir a connu un beau succès. Comme nous le disons dans l’Editorial de notre hebdomadaire de cette semaine : « Que des dizaines de milliers de militants et de bénévoles s’activent à sa réussite montre que, quoi qu’en disent les pseudo-experts qui ont enterré dix fois le PCF, il garde une implantation dans les classes populaires. Car bien des travailleurs, bien des jeunes ne se résignent pas à la domination du grand capital. » Mais nous poursuivions : « En revanche, la politique menée aujourd’hui par la direction du Parti communiste a tout pour déboussoler ceux qui regardent vers lui… ».
 
 

         Dans les allées de la fête, les militants du PCF faisaient ainsi signer une pétition dans le cadre d’une « grande consultation citoyenne ». Sur ce sujet, ci-dessous, l’article de notre hebdomadaire Lutte ouvrière de cette semaine.

 PCF : la « grande consultation » accouchera d’une souris
 

Le PCF organise une « grande consultation citoyenne », avec l’ambition que 500 000 personnes répondent à son questionnaire. Par exemple, il faut choisir trois propositions et trois seulement, parmi : « Je veux un meilleur salaire, de meilleurs revenus », « un emploi stable », « une meilleure éducation », « de meilleures conditions de travail », « que cessent les discriminations », etc. Et tout est à l’avenant.

À la manière d’une étude de marketing pour un produit commercial, le public est questionné sur « les propositions pour 2017 ». Les personnes consultées sont invitées à choisir entre « limiter le pouvoir des actionnaires », « investir dans le développement industriel », « interdire le cumul des mandats », « défendre la dignité humaine », ou encore « renégocier les traités européens ». Hollande ne disait pas autre chose en 2012, et Mélenchon ou Montebourg seraient tout disposés à reprendre ces propositions, aussi vagues qu’inoffensives.

Un tel robinet d’eau tiède ne risque pas de cracher du feu !

                         Michel BONDELET (Lutte ouvrière n°2510)

Sexisme : vrai problème, fausse campagne


Lutte contre le sexisme : vrai problème, fausse campagne

 
Le gouvernement lance une campagne contre le sexisme, sans  affiches ni spots publicitaires. Il n’y aura qu’un badge et des messages sur les réseaux sociaux. Quatre femmes sur dix disent avoir été victimes de discrimination ou de remarques sexistes, au travail ou dans la rue, et 62 % affirment avoir changé de comportement en évitant certains endroits ou en s’habillant différemment.

La ministre en charge des droits des femmes affirme à juste titre qu’une nouvelle loi ne changera rien. Mais elle n’annonce aucun moyen qui permettrait de faire, un tant soit peu, changer les choses. A commencer par la protection des femmes qui portent plainte pour harcèlement sexuel, un harcèlement qui, on l’a encore vu récemment, existe jusque dans les plus hautes sphères

dimanche 11 septembre 2016

Agenda militant


Aujourd’hui dimanche

 

Lutte ouvrière à la fête de l’Humanité

 

 
 

 

Lutte ouvrière tient un stand à la fête de l’Humanité. Situé avenue Louise-Michel, on y trouvera une librairie proposant des ouvrages sur le mouvement ouvrier et les publications de Lutte ouvrière.

 

Un débat sera aussi organisé aujourd’hui à 14 heures sur le thème suivant :

- « Après les quatre mois de mobilisation du printemps contre la loi travail, donner une expression politique aux intérêts des travailleurs dans l’élection présidentielle. »

 

Demain soir lundi

 

Nathalie Arthaud dans les médias

 

Lundi 12 septembre

A 19 heures 30

Sur Itele :

Interview de Nathalie Arthaud

 
Au banquet Lutte ouvrière de Corbeil dimanche dernier

Jeudi 15 septembre

 

Contre la Loi travail, on est toujours là

 

Journée de grève et de manifestations

Partout dans le pays,

A Paris

Manifestation à 14 heures

Départ place de la Bastille

 

A Argenteuil, un car est prévu par l’Union Locale des syndicats CGT partant à 13 heures de la salle Jean Vilar. S’inscrire auprès de l’UL.

Mort d'Adama Traoré, un moment de mémoire, de combat, et d'amitié


« Vérité et justice » pour la mort d’Adama

 
Le 19 juillet dernier, un jeune de la région de Persan-Beaumont-sur-Oise décédait le jour de ses 24 ans alors qu’il était dans les mains de la gendarmerie. Dans les jours qui ont suivi, les autorités se sont emmêlées dans des explications différentes et contradictoires. Depuis lors, la famille réclame « vérité et justice » sur la mort d’Adama.

         Pour fêter avec tous leurs soutiens depuis le drame la « sortie de leur deuil », elle a organisé hier un pique-nique convivial à Beaumont dans le quartier populaire de Boyenval .

         Il s’est tenu dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Plusieurs centaines de personnes y ont participé. Toute la famille d’Adama y a pris la parole. Un concert a eu lieu ensuite.

         Pour la famille, il n’est pas question de baisser les bras. Pour elle, le combat continue, mais, comme l’a déclaré au Parisien-95 un des frères d’Adama : « … dans le meilleur esprit, dans le calme. Pour que les gens sachent qu’ils n’ont pas affaire à des voyous, mais à une famille soudée, qui a perdu un frère, un fils. Nous sommes prêts à tout entendre, du moment que les choses sont avérées, que l’instruction judiciaire se déroule normalement. Mais pour nous, cela reste une bavure. Si c’était aussi simple que ce qui a été dit, pourquoi toutes ces zones d’ombre ? »
 


Argenteuil, au Forum, on y cause, on y cause...


Au Forum, on cause, donc on y a beaucoup causé

 
         Le Forum des associations a eu lieu hier à Argenteuil sous le soleil dans le parc du complexe Jean Vilar.

         200 associations locales y ont participé.

         Cela a bien sûr été l’occasion pour les milliers d’habitants qui sont venus, de s’informer et de choisir les activités qu’ils vont mener cette année sur la Ville pour eux-mêmes et leurs enfants.

         Mais cela a été aussi l’occasion de discuter de bien d’autres choses, concernant l’actualité locale, mais bien plus largement, sur la situation générale, sur le combat contre la Loi travail, sur la politique du gouvernement. Comme partout ailleurs, de nombreux habitants rencontrés sont inquiets.

         Ce Forum est quasiment l’occasion unique de tels échanges sur la commune.

         Il a également démontré une nouvelle fois le rôle que jouait et que devait continuer de jouer à l’avenir cet espace Jean Vilar qui, au-delà des salles Jean Vilar et Pierre Dux, permet de multiples combinaisons d’aménagements profitables à la vie et à l’animation collectives.

Depakine, Sanofi, l'Etat au chevet de Sanofi. Un article de notre hebdomadaire Lutte ouvrière de cette semaine


Dépakine : l’État au chevet de Sanofi

 La ministre de la Santé a annoncé qu’il faut que les victimes de la Dépakine soient indemnisées rapidement. « On ne va pas chipoter », a-t-elle ajouté. « On », car c’est l’État qui s’apprête à indemniser les victimes de la Dépakine, l’antiépileptique commercialisé par Sanofi depuis 50 ans et pour lequel on commence tout juste à faire l’inventaire des victimes.

Dès 1982, des études montraient le risque de malformations congénitales pour les enfants nés de mères sous Dépakine pendant leur grossesse. Vingt ans plus tard preuve était faite que s’y ajoutait un risque de troubles du développement intellectuel et cela avec une fréquence de 30 à 40 %. Pourtant, pendant tout ce temps, des femmes enceintes ont continué à prendre de la Dépakine. Il a fallu attendre 2006 pour que la notice du produit indique que l’utilisation de ce médicament est déconseillée pendant la grossesse et 2014 pour une véritable restriction d’utilisation.

Selon les chiffres de l’Assurance-maladie, entre 2007 et 2014, 14 322 femmes ont pris de la Dépakine alors qu’elles étaient enceintes. Un chiffre qui conduit à estimer que, pendant cette seule période, plus de 1 000 enfants sont nés atteints de malformations et entre 3 000 et 4 000 enfants sont nés victimes de troubles du développement. Parce que les premières concernées, les femmes enceintes, n’ont pas été informées des risques gravissimes, pourtant bien connus, de la prise de Dépakine pendant leur grossesse, des milliers d’enfants, et leurs familles, vont le payer pendant toute leur vie.

Aujourd’hui, c’est l’État qui s’apprête à mettre la main à la poche. Le gouvernement annonce la mise en place d’un dispositif d’indemnisation des victimes avec le vote d’un fonds d’indemnisation par le Parlement d’ici la fin de l’année.

Et Sanofi ? Tout juste la ministre prononce-t-elle la phrase : « Si l’État pense que d’autres responsables que l’État sont en jeu, alors il va se retourner contre eux. » Voilà qui ne risque pas de faire craindre quoi que ce soit au géant multimilliardaire de l’industrie pharmaceutique. Celui-ci nie toute responsabilité, affirme avoir toujours « respecté ses obligations d’informations auprès des professionnels de santé et des patients concernant les possibles effets indésirables liés à la prise de Dépakine ». C’est clair, Sanofi a décidé, et d’ores et déjà annoncé, son intention de « faire payer l’État ». Il sait que, comme pour tous les grands groupes industriels, en cas de forfait, il aura l’État à son chevet, il pourra compter sur lui pour maintenir ses profits.

                                         Sophie GARGAN (Lutte ouvrière n°2510)

samedi 10 septembre 2016

Agenda militant


Lutte ouvrière à la fête de l’Humanité



Lutte ouvrière tient un stand à la fête de l’Humanité. Situé avenue Louise-Michel, on y trouvera une librairie proposant des ouvrages sur le mouvement ouvrier et les publications de Lutte ouvrière.

Un débat sera aussi organisé sur le thème suivant :

- « Après les quatre mois de mobilisation du printemps contre la loi travail, donner une expression politique aux intérêts des travailleurs dans l’élection présidentielle. »

Aujourd’hui à 15 heures et demain dimanche à 14 heures

Nathalie Arthaud dans les médias


Lundi 12 septembre

A 19 heures 30

Sur Itele :

Interview de Nathalie Arthaud