Un dictateur, mais pour l’UE, s’il assure la chasse aux migrants…
Kaïs Saïed a été réélu à la tête de la Tunisie dimanche 6 octobre, avec 90 % des suffrages, lors d’un scrutin où l’abstention a frôlé les 70 %. Confrontées au chômage, à inflation et aux salaires trop faibles, les classes populaires n’attendent rien de ce régime et de son président dictateur qui restreint la liberté d’expression, interdit toute critique et arrête les opposants.
De son côté, l’Union européenne fermera les yeux, et même paiera, pour que Kaïs Saïed continue à faire la chasse aux migrants de l’autre côté de la Méditerranée.
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