Bon, abandonnons le mot « recul » pour l’expression « Une retraite en rase campagne »
Passage de la Bérézina. Recul ou pas recul ?
À propos de l’abandon du projet « Les promenades d’Argenteuil », Georges Mothon répond dans le ma ville de septembre : « La réorientation du projet des Promenades d’Argenteuil n’est en rien un recul mais une preuve que la Ville s’adapte à des besoins nouveaux, des habitudes et des attentes revisitées de la population, en voyant plus grand… »
« En rien un recul » ? Quand c’est un abandon pur et simple du projet concernant l’espace Jean Vilar et qui a fait couler beaucoup d’encre depuis 2016 ? Auquel s’est acharné bec et ongles la municipalité pendant des années ?
Si le maire d’Argenteuil ne veut pas du mot « recul », il peut très bien admettre pour caractériser cet abandon, parmi d’autres termes et expressions, l’une de ces dernières qui a le mérite d’être très imagée : « Une retraite en rase campagne » ! DM
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