Argenteuil, un travail en profondeur pour la culture ne peut pas se réduire à un ou deux produits d’appel

 

Petits rappels gros de conséquences

 

 

Dans le numéro de juin du magazine municipal Ma Ville, la municipalité consacre sa tribune officielle à la « culture ». Selon elle, c’est un axe de son action municipale. Comme on aimerait y croire…

         Elle met en avant ses liens avec L’Institut du Monde Arabe dont le contrat vient d’être renouvelé pour trois ans. Elle pourrait aussi mettre en avant (nous ne sommes pas sectaires ! ) la réussite en avril dernier de la journée argenteuillaise organisée au musée d’Orsay. Mais comme l’adage le dit « une hirondelle ne fait pas le printemps ».

         La culture ne peut se réduire à des produits d’appel. Nous rappellerons ici quatre éléments d’un travail autrement en profondeur où l’action municipale a failli : son attitude face au Salon du Livre, son désintérêt de plus en plus flagrant pour le cinéma dans les salles municipales, l’abandon du projet d’un lieu de médiathèque de remplacement durant les travaux de Robert Desnos au Val-Nord, et ces jours derniers, la façon dont elle a traité un projet scolaire culturel très intéressant et qui avait demandé beaucoup d’investissement, Chant’école, qui a eu lieu dans des conditions totalement inacceptables à L’Atrium ! DM