Florilège
Qui veut se cotiser pour lui offrir ?
C’est dans la deuxième partie de l’entretien que le maire d’Argenteuil a accordé à un journaliste de la Gazette du Val d’Oise. Il était sans doute fatigué, il n’arrivait plus à se contrôler ? Mais tout de même.
Certes, il y a peu d’élèves qui liront cet entretien, mais certaines formules de l’édile heurtent déjà les oreilles de chacun, venant de la part d’un personnage public. On peut en juger :
À propos des déboires de Casino : « Casino, qui fout le camp » !
Au sujet du Comité Jean Vilar qu’il n’aime vraiment pas et qui combat le projet Fiminco : « on se tape tout un tas de recours » !
Quand il évoque les pauvres automobilistes contraints de transiter par Argenteuil et l’avenue Gabriel Péri : « On s’en fout du transit »
« C’est la merde » à propos de la crise de Kéolis.
On en est gêné pour le journaliste qui a mené l’entretien.
En tout cas, on imagine les réactions de tous les responsables économiques et de l’État à la lecture des éléments ci-dessus que nous avons trouvés et qui surprennent pour ne pas dire plus, prononcés de la part du maire de la 3ème ou 4ème ville d’Ile de France. DM
1 commentaires:
Triste exemple !
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