Qui s’y frotte s’y pique
Le gouvernement s’étrangle : les contrôleurs aériens étaient en grève samedi 25 et dimanche 26 mai obligeant à l’annulation de 70 % des vols, malgré l’accord signé avec le syndicat majoritaire.
Si l’accord en question prévoyait des hausses de salaires, il actait également des fermetures de tours de contrôle et une augmentation de la charge de travail. Les contrôleurs demandent donc des embauches pour pallier au sous-effectif, une revendication commune à de nombreux secteurs.
Comme à son habitude, le gouvernement hurle à l’irresponsabilité et à la prise d’otages pour attaquer des travailleurs qui défendent leurs conditions de travail.
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