vendredi 31 mai 2024

Liste Lutte ouvrière – Le camp des travailleurs : Le 9 juin, votez pour des travailleuses et des travailleurs !

Le 9 juin, votez pour des travailleuses et des travailleurs !

Publié le 29/05/2024

Les 81 candidats de la liste Lutte ouvrière-le camp des travailleurs sont issus du monde du travail.

Ouvriers, ouvrières d’usine, infirmières et infirmiers dans des établissements de santé, employés, cheminots, professeurs, techniciens et ingénieurs, facteurs… ils connaissent la réalité de l’exploitation patronale, des salaires trop courts, des horaires trop longs, des cadences trop dures, des conditions de travail qui usent prématurément.

Ils savent, pour le vivre quotidiennement au travail ou dans leur quartier, que la classe ouvrière, de toutes couleurs et de toutes origines, fabrique, emballe, fait circuler, calcule, gère, organise tout ce qui est produit dans cette société. À ce titre, les travailleurs, avec ou sans emploi, sont les mieux placés pour diriger cette société qu’ils font déjà fonctionner. Pourtant, ceux qui décident de la vie de l’immense majorité sont directement membres ou représentants politiques de la mince couche de parasites milliardaires qui s’enrichit à ses dépens.

Sur les listes Bardella- Le Pen, Bellamy ou Hayer-Macron, on trouve chefs d’entreprise, directeurs généraux, un ministre, un général, un ancien directeur de Frontex ayant fait l’objet de plaintes pour refoulement de migrants, un haut commissaire au plan, une directrice du cabinet d’un recteur d’académie, un directeur adjoint de la sécurité ferroviaire, etc.

Sur la liste Lutte ouvrière, on trouvera un ouvrier outilleur, un électricien, une aide-soignante, un professeur des écoles et une enseignante en lycée professionnel, des cheminotes… Tous font partie de ces 250 millions d’actifs européens qui subissent la même exploitation. Ils se veulent les porte-parole du monde du travail d’ici et d’ailleurs, de ses intérêts, pour des salaires corrects, des logements décents, la santé, l’école, les transports auxquels il a droit. Ils se veulent la voix de ceux qui refusent la résignation, et veulent faire renaître une conscience ouvrière, une conscience de la nécessité des luttes qui changeront le monde.

Le 9 juin, le seul geste utile est de voter pour son camp, pour le camp des travailleurs.

Viviane Lafont (Lutte ouvrière n°2913)

 

 

Les prochaines permanences et rendez-vous prévus à Argenteuil et la région :

-Aujourd’hui vendredi 31 mai : de 10 h.30 à midi, marché Héloïse ;

-de 15 h.40 à 16 h.40 marché du Val-Nord ;

-de 17 h.15 à 18 h.15 au carrefour « Babou »

-Samedi 1er juin, de 10 h. à 10 h.30, marché des Coteaux ;

Et de 11 h. à midi au marché de la Colonie ;

-dimanche 2 juin, de 10 h.15 à 10 h.55 devant Intermarché,

Et de 11 h. à midi, au marché Héloïse ;

-Lundi 3 juin, de 18 à 19 heures dans le centre commercial de Saint-Gratien…

 

 

Mardi 04 juin

Européennes 2024

France 2 : Débat sur les élections européennes, avec Nathalie Arthaud

à 22h00

Avec Nathalie Arthaud

 

Manifestons contre le massacre des Palestiniens à Gaza

Lutte ouvrière appelle à participer aux manifestations organisées pour dénoncer le massacre des Palestiniens par les forces armées israéliennes, avec la complicité du gouvernement français. À Paris, samedi 1er juin, une manifestation partira de la place de la République à 14heures.

 


 

 


Manœuvres patronales chez Ascometal

L’emploi des travailleurs avant tout

 

 

Les travailleurs d’Ascometal à Hagondange (Moselle) ont fait grève pour protester contre le risque de fermeture de la branche Auto du groupe. L’actuel propriétaire, Swiss Steel, veut s’en débarrasser tandis que le repreneur, Venete, ne veut pas payer les travaux de désamiantage. Il y a visiblement des tractations en coulisse pour faire monter les enchères ou faire payer les travaux par l’État. En attendant, des centaines de familles sont plongées dans l’angoisse. 

      Créée en 1932 par Renault, l’usine d’Hagondange a été reprise en 1980 par Usinor. Devenu Ascometal en 1985, le groupe a été revendu à plusieurs reprises, au sidérurgiste Lucchini, au fonds d’investissement Apollo puis à Swiss Steel. À chaque fois, ces capitalistes se sont enrichis : à eux de payer pour assurer un avenir aux travailleurs d’Ascometal et aux sous-traitants.