Pas question d’un projet de la double peine
Plus de 6 milliards de profits en 2022, 7,5 milliards attendus en 2023
On se demande bien, s’ils se réalisaient, à quel prix les divers éléments du projet Fiminco-municipalité envisagés sur l’espace Jean Vilar actuel pourraient réussir à être assurés. Un projet conçu dans un espace susceptible d’être inondé, ce sera combien ? Susceptible donc dans des circonstances certes exceptionnelles d’être concerné par « l’état de catastrophe naturelle » !
Bref, les habitants d’Argenteuil, dans le cas où le projet se réaliserait, subiraient une sorte de double peine. Parce qu’ils ne veulent pas de ce projet, sur la base de la multitude de conséquences négatives pour la commune et pour eux-mêmes, et parce qu’ils devraient supporter le coût grandissant des assurances payées par tous.
Ainsi le gouvernement vient-il d’autoriser une augmentation des tarifs des assurances au 1er janvier 2025 pour, dit-il, financer l’indemnisation de ces catastrophes naturelles. Cette hausse fera passer la surprime qui finance ce régime de 12 % à 20 % pour les habitations et les assurances professionnelles et de 6 % à 9 % pour les contrats vol et incendie. Bref, bien une seconde peine pour les habitants, alors que les assurances roulent sur l’or.
Bref, plus que jamais, exigeons l’arrêt du projet Fiminco-municipalité. DM
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