Pas question d’inverser ou d’adoucir la réalité
Lors du dernier conseil municipal, l’adjointe aux « affaires sociales… » a fait une sortie quelque peu étonnante : à propos de la « Maison des femmes », une maison pour laquelle “nous cherchons une autre dénomination pour inviter les hommes silencieux à y demander de l’aide.” !
Certes, il y a des hommes opprimés, méprisés, et même subissant des violences de leur compagne. Certes, mais dans une proportion très faible comme chacun sait, comparé à celui des femmes victimes de leur compagnon. Dire ce qu’a évoqué l’adjointe, c’est gommer cette réalité qui exige un combat pour le droit, l’égalité, et la vie de tous les instants. DM
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