Au troisième étage de l’exploitation
Des salariés précaires de la Tour Eiffel ont témoigné de la manière dont la Société d’exploitation de la Tour Eiffel, détenue à 99 % par la Ville de Paris, les a traité pendant des années. Plusieurs dizaines de saisonniers, qui travaillaient de fait toute l’année, devaient se rendre disponibles en permanence pour travailler parfois une seule journée. L’employeur leur faisait miroiter un CDI en échange de leur silence, toujours en vain.
C’est en somme la vitrine de la France capitaliste.
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