Un mépris souverain, le mépris d’un « souverain », petit, petit…
Dans le cas du Salon du Livre, la municipalité n’a jamais répondu aux contacts par internet et autres, et aux demandes de rendez-vous de l’association organisatrice. Ces demandes étaient d’autant plus importantes qu’en juin, cette dernière demandait les intentions de la municipalité pour qu’en cas de suspension de l’utilisation de l’espace Jean Vilar, elle indique si elle était prête à offrir un espace de remplacement avec une superficie équivalente. Elle lui demandait de répondre avant le 15 septembre, afin que dans le cas d’une réponse négative, elle puisse prendre ses dispositions pour organiser tout de même son Salon.
Ne pas répondre n’est pas propre de la part de la municipalité à cette association. D’autres, groupements et individus, en sont victimes. La municipalité ne leur répond pas ou met des mois pour le faire.
En revanche, quand elle le veut, pour qui elle le veut, elle sait être autrement accommodante.
Ainsi, l’an passé, nous avons été témoin d’un petit miracle en la matière. Une association avait besoin d’une salle. Un message, un clic, et moins de trois minutes plus tard, je dis bien trois minutes plus tard, la réponse parvenait, la salle demandée était accordée.
Pour revenir au Salon du Livre et des Lecteurs, comment caractériser cela autrement qu’un comportement indigne. Quand il s’agit de culture, on aimerait même trouver un qualificatif plus fort.
En tout cas, cela est inacceptable. DM
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