Derrière ce gâchis, une grande fortune bourgeoise intacte
Manifestation devant le siège de Vivarte, 23 janvier 2017 (crédit photo : F. Blanc)
La liquidation judiciaire de San Marina vient d’être prononcée. La fin de cette enseigne de chaussures, qui jusqu’en 2020 appartenait au groupe Vivarte, propriété des millionnaires de la famille Descours, provoque 163 fermetures de magasins dont celui d’Argenteuil et 653 licenciements de travailleurs.
L’argent pour que les salariés conservent un gagne-pain existe : il faut le prendre sur les profits passés et présents des Descours et compagnie.
Alors que les grands patrons de l’habillement réclament des aides de l’État pour la « transition digitale et environnementale » du secteur, pas un centime d’argent public ne doit aller dans leurs poches.
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