Et si c’était vraiment une belle grande année
La fête assura heureusement chaque année le souffle de la flamme de notre grand idéal
Pour ma génération militante, il n’y eut guère de « grandes » années, qui marquent vraiment car on sait qu’elles sont un moment de véritable rupture dans le temps social, dans un sens bien sûr ou un autre. Pour moi, il y eut 1968, dans le bon sens, l’année de mes 16 ans. C’est maigre.
Et si 2023 était pour tous ceux qui ont la conviction que l’Humanité peut sortir du bourbier dans lequel la société s’enlise, l’année du grand tournant, de la profonde inversion, celle du passage du recul à la marche en avant, du manque d’espoir à la grande espérance. Il y eut de telles années dans l’histoire de ce pays : 1848, 1871, 1919, 1936, 1944 si la Libération n’avait pas été trahie, 1968 donc…
Quand nous vivions le recul de ces dernières décennies cette idée fut toujours présente : quand cela allait-il cesser ?
Nous ne posons pas la question à la manière de notre ami le Nostradamus local qui nous a quittés naguère. Mais les crises de la société sont tellement multiples et patentes…
En tout cas, nous allons avoir fort à faire.
Vivons l’année nouvelle avec espoir, détermination, fraternité. Que les grandes espérances nous guident en ce jour nouveau. Meilleurs vœux à tous ceux qui le méritent. Ils sont la quasi-totalité de mes lecteurs du présent blog. Amitié donc à eux, Dominique
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire