Les travailleurs se battent, les chiens patronaux aboient...
Macron s'est joint à la meute des ministres, commentateurs pro-patronaux et experts en tout genre qui répandent leur rage impuissante contre la grève des contrôleurs. Condamnant les syndicats qui ne maîtrisent pas ce mouvement et la SNCF qui serait « une entreprise qui s'habitue à tolérer la grève », il rêve, avec les patrons, de supprimer le droit de grève.
Mais ce sont les travailleurs qui font rouler les trains et tourner la société. Et lorsqu'ils sont déterminés à faire valoir leurs intérêts, ils font la démonstration de leur pouvoir.
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