La spoliation foncière toujours derrière la colonisation
Plantation de thé au Kenya
Au Kenya, les communautés Talai et Kipsigis réclament des réparations au Royaume-Uni pour les spoliations subies pendant l’ère coloniale, du début du vingtième siècle à l’indépendance en 1963. À coups de meurtres, de tortures, de viols, ces populations ont été dépossédées de leurs terres, aujourd’hui dans les mains des compagnies Lipton, Unilever et Finlay’s, qui y font pousser du thé qui se vend bien sur le marché mondial.
Le colonialisme appartient le plus souvent au passé, mais ses conséquences sont bien présentes dans le sous-développement de vastes zones du globe.
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