Qu’ils paient aux travailleurs ce qui leur permet de vivre !
Il y a quelques jours, on a pu voir à la télévision la DRH d'un hôtel se lamenter sur l'impossibilité de recruter des femmes de ménage, « pénurie » qui l'oblige à fermer des chambres. La perte se chiffrerait en dizaines de milliers d'euros, selon elle. Mais, continue-t-elle, elle ne va quand même pas « payer une femme de chambre 2 000 euros nets par mois ! »
Ce serait pourtant bien le minimum.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire