Pot-pourri municipal
On a bien cru qu’il allait citer la canicule et les incendies de forêt
Dans sa lettre prolixe et peu maîtrisée justifiant la prolongation de la neutralisation du complexe Jean Vilar pour les associations et les partis, le maire d’Argenteuil écrit la longue phrase suivante. Oui, elle est longue, alors préparez-vous. Un verre d’eau, à vos marques, prêt, partez : « Chacun mesure les difficultés que nous rencontrons de disposer d’une visibilité au cours des prochains mois : les chiffres inquiétants de la crise sanitaire, l’explosion des coûts de fonctionnement des structures municipales liée à la flambée des prix des matières premières, les multiples recours déposés contre le projet « Les promenades – Argenteuil » qui doit donner naissance à la plus grande salle de spectacle d’Argenteuil et remplacer la salle Jean Vilar plus que vieillissante, la situation internationale tendue (…) constituent autant d’éléments qui, chaque jour, impactent, à des échelles diverses, la vie de notre Ville, de nos services, de nos projets, de nos équipes et de tous nos habitants. »
On a eu peur, on a craint à la lecture que le maire ajoute bien d’autres calamités potentielles : la guerre nucléaire, la rencontre d’un astéroïde majeur, l’extinction de l’homme. …
Et tout cela, pour justifier le projet municipalité-Fiminco si calamiteux. Quant aux recours, notre réflexion sera pour demain. DM
Samedi 17 septembre, pour la défense de l’espace Jean Vilar,
Déambulation en direction de la Maison de Claude Monet
Départ : 15 heures
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