La « démocratie des amis »
La Turquie a accepté de ne plus faire barrage à l’entrée de la Suède et la Finlande dans l’Otan. En échange, ces deux pays souvent présentés comme des « démocraties avancées » ont affirmé, de concert avec la dictature turque, que le PKK, un des principales organisations réclamant l’autonomie des kurdes, est une « organisation terroriste ». Ils ouvrent la voie à de possibles extraditions de militants kurdes réfugiés en Scandinavie vers la Turquie, où ils risquent la prison ou pire.
C’est cela, la « liberté » que l’Otan prétend défendre.
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