Un tel écart entre les tableaux « Argenteuil » de l’impressionnisme et la réalité. À éviter absolument…
Ces jours derniers, la presse, peut-être en mal de copie, est revenue sur le thème du « syndrome de Paris ». Sans trop d’effort, on peut retenir la définition de Wikipédia : C’ « est un trouble psychologique transitoire rencontré par certaines personnes, en visite ou en vacances à Paris… cette affection toucherait plus particulièrement les touristes japonais qui, désemparés par l’écart entre la réalité et leur vision idéalisée de la ville… se retrouvent désillusionnés et déstabilisés par le fossé culturel entre la France réelle et l'image qu'on s'en fait à l'étranger, notamment au Japon… »
Oui, imaginons que quelque touriste japonais amoureux de l’Impressionnisme viennent à Argenteuil y retrouver des paysages de ses œuvres favorites… Oui, imaginons.
Alors, pour la santé de ces touristes japonais, évitons à l'avenir ces turbulences sanitaires possibles. Et même, il ne serait pas si difficile de rétablir une certaine parcelle de ces berges et de leur quiétude qui donnèrent aux peintres l’envie de les immortaliser. DM
Samedi 17 septembre, pour la défense de l’espace Jean Vilar,
Déambulation en direction de la Maison de Claude Monet
Départ : 15 heures
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