Il n’y a pas de liberté de parole
La Grande-Bretagne a autorisé l’extradition vers les États-Unis de Julian Assange. Il risque 175 années de prison pour avoir mis au jour les crimes de l’armée américaine, en particulier en Irak et en Afghanistan.
Pour les dirigeants de ces pays dits démocratiques, la liberté de parole s’arrête là où commencent les intérêts de l’impérialisme.
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