D’autant plus inadmissible quand il s’agit du logement dit « social »
Le logement que j’ai quitté fin février 2020 rue Rouquès dans la cité Joliot-Curie d’Argenteuil est toujours vide. Plus de 27 mois maintenant après que je l’ai quitté en très bon état.
Il y en aurait un millier dans cette situation sur l’ensemble du parc du bailleur ABH. On approche les 10 % de son parc de logements.
Quand il y a des milliers d’habitants qui demandent de tels logements sur Argenteuil-Bezons, et qu’il y en a une telle quantité qui demeurent non attribués, cela est révoltant.
Mais que se passe-t-il donc chez ABH pour qu’il en soit ainsi ? DM
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