Le parasitisme de la finance
Pour le seul premier trimestre, la banque BNP-Paribas, la plus grande banque européenne, a engrangé plus de deux milliards de bénéfices, en hausse de 20 % comparé à l’an dernier.
Quels que soient les noms sophistiqués dont elle entoure ses activités, c’est la spéculation, la recherche des placements à court terme et des paris les plus risqués, le parasitisme de la finance, qui alimentent cette concentration de richesses, inutiles socialement.
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