Jeunes « ni Macron ni Le Pen » en colère, on les comprend

Contester Macron et le pouvoir de la bourgeoisie

 

Dans plusieurs grandes villes, comme Rennes, Nantes ou Toulouse, des rassemblements ont eu lieu au soir du dimanche 24 avril, afin de protester contre la réélection de Macron. Les centaines de jeunes qui s’y sont retrouvés étaient souvent les mêmes qui, entre les deux tours, avaient crié « Ni Macron ni Le Pen », déçus que Mélenchon n’ait pas atteint le second tour, parfois se revendiquant antifascistes et anticapitalistes.

Souhaitons que leur colère les amène à la conscience que pour arrêter la destruction de la société par la soif de profit des capitalistes, il faut s’atteler à réimplanter les idées communistes révolutionnaires dans les entreprises, parmi la classe des travailleurs.