AVC, pas bon d’être pauvres
Le ministère de la Santé vient de révéler que les personnes appartenant au quart le plus pauvre de la société française ont 40 % de risques en plus de faire un AVC que le quart le plus riche. Les conditions de vie et d’alimentation sont en cause.
Le risque de séquelles (paralysies, troubles du langage ou mort dans l’année qui suit…) est aussi plus important chez les plus pauvres car il y a une différence dans la qualité et la rapidité de la prise en charge et un accès inégal aux services adaptés.
À part ça, nous serions tous égaux…
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