Quand on veut brader son espace, on l’accuse de tous les maux
Les Cinglés du cinéma
Dans le discours de la municipalité, il y a deux axes : la soi-disant obsolescence du complexe Jean Vilar et le fait que le projet Fiminco ne « coûtera rien » à la Ville.
Aujourd’hui, je répondrai à la première affirmation par les arguments suivants. La liste n’est pas exhaustive.
1.La grande salle Jean Vilar n’a pas été entretenue comme il se devait depuis trois ou quatre décennies par les municipalités successives.
2.La sonorisation était totalement défectueuse. On me rappelle qu’elle a été transformée, en positif.
3.La salle Pierre Dux a été rénovée avec bonheur.
3.Il a fallu qu’elle soit occupée par la vaccination pour que des travaux mineurs aient été effectués dans la salle Jean Vilar, ou que des éléments tombent du plafond pour opérer une petite rénovation là où cela était impératif de le faire.
4.Ce genre de construction, qui en a tenu compte, convient complètement à la nature fragile du sous-sol due à un espace appartenant au lit majeur de la Seine, et constitué d’éléments de remblais ou autres.
5. Elle est pratiquement de plein pied ce qui permet une garantie de sécurité et bien des avantages pour des salons et autres.
6.Le comité Jean Vilar n’a jamais affirmé qu’il fallait maintenir la salle en l’état.
7.Il
a toujours, bien au contraire, proclamé qu’elle devait être rénovée ou
reconstruite.
A trop vouloir prouver, la municipalité ou ses porte-parole ne font que renforcer chez les habitants l’impression qu’on les prend pour des imbéciles. DM. Demain : réponse au « Et ça ne coûtera rien »
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