Pas encore élue, déjà obéissante aux patrons
Un
créneau d’extrême-droite moins semé d’embûches (Coteaux le 29.1.22)
Afin d’appâter les électeurs des classes populaires, Pécresse avait promis une hausse des bas salaires de 10 % essentiellement payée par l’État. C’était trop pour le patronat. Celui-ci le lui a fait savoir.
Docile à ses maitres, Pécresse est donc revenue sur sa promesse et prévoit désormais de baisser les cotisations patronales sur tous les salaires, ce qui compenserait la hausse promise. Il a suffi que les patrons grondent pour qu’elle s’incline.
Qu’en pensent les jeunes pécressiens d’Argenteuil ? DM
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