Mobilisation en temps d’élection, une leçon
Le 13 janvier
Les élections approchent et la journée de grève massive du 13 janvier dernier dans l’Éducation a connu un beau succès. Deux raisons qui expliquent que non seulement Macron-Blanquer aient changé de ton mais qu’ils aient tendance à faire profil bas, en tout cas plus bas.
Ainsi viennent-ils d’annoncer que les modifications sur les spécialités du bac, changements dénoncés par les élèves, les profs et les parents, sont repoussés.
Autre exemple : à la dernière commission dans le 95 discutant au sein de la MDPH de la question du handicap, la fcpe95 a dénoncé un dysfonctionnement léger. Elle vient de recevoir un mail proposant un rendez-vous entre cette commission et la co-présidence fcpe95 pour en parler
Autre exemple encore, sur une école qui manque d'une enseignante pour quelques semaines, la menace a été faite d'alerter la presse. Le remplacement a été obtenu dans la demi-journée.
Encore… La direction académique du 95 toujours voulait chambouler radicalement un changement de règles pour un type de postes de professeurs des écoles. Un tollé. Le projet a été remisé.
Conclusion : les personnels doivent poursuivre sur cette voie. Et être encore plus impliqués que le 13 janvier dernier… puisqu’il semble que la consigne est d'éteindre tout début de contestation. DM
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