Argenteuil, agents territoriaux, leur seule obsession, nous faire bosser

 

Macron, Omicron,… Ras le bol !

 

 

Lui, il continue à travailler au prix de notre santé

Nous avons évoqué ces jours derniers le désarroi des personnels de l’Éducation nationale face à la façon dont le gouvernement gère l’impact de l’épidémie sur l’École. Ce n’est pas une nouveauté mais la nouvelle poussée exponentielle de la pandémie en donne une dimension particulière.

         Il en va de même dans bien d’autres secteurs d’activité, et bien sûr dans les services municipaux de la Ville. Ainsi, quelques jours avant même l’annonce des nouvelles décisions gouvernementales, la direction des services municipaux annonçait ou rappelait un certain nombre de dispositions.

         Ainsi elle veut augmenter le nombre de jours de télétravail, de 2 à 3 pour ceux pour lesquels cela est possible. Le hic est que cela fait deux ans qu’entre l’orientation télétravail y compris du sommet de la hiérarchie et la réalité, il n’est pas toujours possible de faire entendre raison à la hiérarchie intermédiaire.

         Elle désire aussi mettre en place le travail en équipe, du matin et de la soirée, sans envisager les difficultés concrètes que cela pose à de nombreux agents qui habitent loin et ont des obligations à l’égard de leurs enfants en particulier. Là encore, il n’est pas facile de faire entendre raison à la hiérarchie qui ici ou là, comme au service de renseignements téléphonés, met des conditions à la mise en place de ce travail par équipes, alors que le service a déjà été particulièrement touché par les vagues précédentes de Covid !

         La direction rappelle également qu’il est préférable de déjeuner seul dans son bureau. Oui bien sûr. Mais pourquoi ne modifie-t-elle pas les horaires de l’hôtel de ville, en réservant l’agora de celle-ci le midi pour la restauration des agents ! Mais chacun sait que cette dernière depuis 2014 n’a jamais été une priorité sérieuse municipale.

         Ces orientations ont été décidées sans la consultation des agents eux-mêmes et y compris de leurs représentants. Les uns et les autres ont pourtant bien des idées sur la question. À suivre donc de près dans les jours qui viennent. DM

Les permanences des jours à venir :

-demain mercredi 5 janvier, de 11 h. à 11 h.30 marché des Champioux.

 

Nathalie Arthaud dans les médias :

Regardez les nombreuses vidéos sur le site lutte-ouvriere.org

 

Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,2 euro) numéro 2787, et Lutte de classe (2,5 euros) n°220 (au « Presse papier » seulement), lors des permanences et :

         Chez les marchands de la presse :

                   -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac de la « dalle » ;

                   -librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri.

 

La Fête de Lutte ouvrière à Presles, les 27, 28 et 29 mai 2022

Les habitués de la fête de Lutte ouvrière à Presles savent que celle-ci se tient d’ordinaire lors du week-end de la Pentecôte. Or la ligne H de la SNCF, qui dessert la gare de Presles-Courcelles, sera interrompue pour travaux à la Pentecôte 2022. C’est pourquoi nous avons décidé d’avancer notre fête annuelle, et de l’organiser pendant le week-end de l’Ascension, soit les vendredi 27, samedi 28 et dimanche 29 mai 2022. Des dates à retenir !

 

Attention : mes 5 articles du jour apparaissent parfois sur deux pages voire sur trois pages. Pour lire les 5 articles, cliquez en bas de la première page sur « articles plus anciens). DM.