Trois exemples qui en donnent une idée
Belle façade, sombre réalité
Nous avons évoqué il y a deux mois le cas d’une locataire de l’esplanade Salvador Allende à Argenteuil dont le logement a été victime d’un incendie pour lequel elle n’avait aucune responsabilité.
Elle doit le récupérer depuis des mois, mais ABH met de nouveaux obstacles administratif pour cela. On lui demande une fiche des impôts pour sa fille qu’elle héberge, alors que ce logement était à son nom avant l’incendie.
Double peine !
On pense à Kafka. Non, on est chez ABH !
Une autre locataire s’est trouvée dans la situation suivante. Un logement lui est attribué. Elle doit avoir les clés, promis juré, le 31 décembre dernier. Elle rend donc son logement relevant du privé puisqu’à ABH on lui a dit qu’elle pouvait donner son congé sans crainte pour cette date. Mais le 31, son logement, malgré toutes les promesses n’est pas prêt.
Elle se retrouve en galère… sans logement.
Il y a quelques jours encore, mon ancien logement de la cité Joliot-Curie était toujours vide. Cela va bientôt faire deux ans qu’il l’est.
Il n’y a pas des milliers et des milliers de demandes d’habitants qui ont déposé un dossier de logement pour le parc AB Habitat ?
Quand
le bailleur dit « social » va-t-il mettre un terme à cette situation
inadmissible ? DM
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