La dure loi de la concurrence inter-impérialiste
L’industriel militaire français Naval Group s’enorgueillissait d’avoir passé un « contrat du siècle » de plus de 40 milliards de dollars pour la livraison d’une douzaine de sous-marins à l’Australie, dont le premier ministre était encore reçu par Macron à ce propos à la mi-juin.
Patatras ! L’Australie a finalement décidé de rompre l’engagement et de se doter d’engins de fabrication américaine.
La France se vante volontiers de son rayonnement international, quitte à ce qu’il se résume à la vente d’engins de guerre qui ne répondent en rien aux besoins des populations. Les États-Unis ne dédaignent pas de lui rappeler à l’occasion qu’elle n’est qu’une puissance impérialiste de second rang.
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