Climat, le renversement du capitalisme, une nécessité vitale
Le GIEC, groupe d'étude sur le climat, prépare un nouveau rapport. Ses grandes lignes, alarmistes, ont déjà filtré dans la presse. Pour ces experts, les impacts du réchauffement vont s'accélérer : pénuries d'eau, malnutrition, extinctions d'espèces. Ils écrivent : « La vie sur terre peut se remettre (...) en créant de nouveaux écosystèmes. L'humanité ne le peut pas ».
Il faudrait dire : l'humanité soumise à l'économie de marché, qui empêche de prendre des mesures contre le réchauffement, laissant les activités humaines soumise aux choix de chaque capitaliste, en fonction de ses intérêts particuliers.
Quant aux gouvernements, leur inaction passée, leur impuissance et leur complaisance devant le grand capital ont déjà montré que, malgré les nombreuses sonnettes d'alarme, ils se dépêcheront d’en faire le moins possible.
Le capitalisme limite les capacités de l'humanité à s'organiser collectivement pour s'adapter aux conséquences du réchauffement. Son renversement est une nécessité vitale.
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