Agir ensemble lors qu’il n’y aucune raison de ne pas le faire
Nous étions 200 pour défendre la salle Jean-Vilar en novembre 2017, combien pourrions-nous être si l’on unifiait les forces ?
Les tribunes des groupes d’opposition du dernier numéro du magazine municipal Ma Ville m’ont conduit à la réflexion suivante.
Un des groupes s’en prend à la façon dont la municipalité veut réduire le groupe scolaire Brossolette en le privant de 150 m². Le deuxième dénonce la vente de la colonie de Saint-Hilaire de Riez. Le troisième déclare s’opposer aux projets Cap Héloïse, de la friche Balzac dans le quartier du Val-Sud, et au risque d’atteinte au jardin du parc de la Croix-Rouge près de la gare. Quant au quatrième, il dénonce une nouvelle fois la façon dont SFR traite les Argenteuillais.
Bien évidemment tout cela est juste et mérite une dénonciation forte. La responsabilité de la municipalité actuelle est directe dans tous ces projets contestés, y compris dans l’affaire SFR.
Il ne reste plus aux uns et aux autres qu’à s’unir pour les combattre, et à agir réellement pour qu’ils soient abandonnés, d’autant plus que les habitants n’ont jamais été consultés. Même si on attend encore du groupe « socialistes, écologiques et citoyens » qu’il avoue enfin s’être fourvoyé par son silence dans l’affaire Jean-Vilar-Cap Héloïse. DM
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