Aujourd’hui, aucun travailleur ne peut se sentir à l’abri
L'usine
Renault de Flins (Yvelines)
Sur 48 000 salariés en
France, Renault prévoit d'ores et déjà d'en supprimer 5 000 d'ici 2024
d'après Le Figaro. Que fera l'État, actionnaire à 15% ?
Rien,
comme l'a confirmé à l'avance Bruno Le Maire qui a dit qu'il ne s'opposerait ni
aux fermetures de sites ni aux suppressions de postes.
Pour
défendre leur gagne-pain, les salariés de Renault ne pourront compter que sur
leur force de travailleurs. Elle est considérable, du fait de leur nombre, de
leur place dans l'entreprise, dans l'activité sociale et de la
possibilité de s'adresser et de lier leur lutte aux millions de travailleurs menacés
comme eux. Et qui, parmi les autres, peut raisonnablement se sentir à
l'abri ?
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