Des regrets (on y croit !) d’un côté,
des exigences de l’autre !
Lors
d’une visite surprise à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, Macron a pu
mesurer la colère du personnel. Il a été vivement interpellé par des soignantes
et des soignants sur l’incurie de l’État pendant la crise sanitaire, les
conditions de travail toujours plus dégradées… Et tous ont tenu à lui dire
qu’ils n’entendaient pas se contenter d’une prime et qu’ils exigeaient des
vrais moyens et de vraies augmentations de salaire.
Devant cette colère, Macron a fait mine
de regretter des erreurs et a promis une nouvelle fois que l’État allait
financer massivement l’hôpital… mais, comme d’habitude, sans donner la moindre
précision.
Les promesses n’engagent que celles et
ceux qui y croient. Seuls la mobilisation et les coups de colère pourront faire
céder le gouvernement.
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