L’expérience n’a pourtant plus besoin d’être refaite pour le dimanche
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| Mi-mars déjà, beaucoup de précautions... |
Le marché Héloïse a repris hier
matin, dans de très bonnes conditions d’organisation et du respect des
distances.
On
se demande vraiment pourquoi, sur la base de cette expérience très positive, la
municipalité ne pouvait pas dès hier changer son fusil d’épaule et autoriser la
réouverture de ce marché également pour demain dimanche.
Par
ailleurs, il y avait de la place à l’extérieur pour que des commerçants de
produits non-alimentaires commencent à se réinstaller dans de bonnes conditions
sanitaires. Alors, pourquoi non ?
Est-ce
là une nouvelle illustration de ce que j’appelle une municipalité
« service minimum » ? DM
Entre le gouvernement et la grande distribution des liens,
inexistants avec les petits commerçants
En tout cas, nous avons pu
constater que les commerçants étaient vraiment « fumasses » (l’argot
ici exprime le niveau de leur colère) de ce manque d’activité durant près de
deux mois avec le manque à gagner correspondant.
« Mais
pourquoi avoir autorisé les grandes surfaces à ouvrir malgré souvent le manque
de distance entre les clients, alors que nous, on nous a interdit de travailler
dans de bonnes conditions sanitaires, telles que celles mises en place dorénavant
au marché Héloïse ? » Tel était le fond de leur pensée.
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